En ce 21 octobre, on prend un peu de distance pour regarder la France depuis l’étranger. Le monde nous signale que Mark Weisbrot, co-directeur du Centre de recherche économique et politique de Whashington, a pris la plume dans The Guardian pour défendre les mouvements sociaux contre la réforme des retraites. Pour lui, les Français se battent pour l’avenir de l’Europe.
Pendant que l’Europe observe la France, comment faire face à la pénurie de carburant ?
Le vélo, c’est écolo, mais il n’y a pas de vélibs dans toutes les villes. Et quand il y en a, encore faut il en trouver un quand on en a besoin, et trouver un emplacement libre pour le rendre à proximité de sa destination. Reste le vélo personnel, mais ça se vole facilement, malgré toutes les précautions.
C’est peut-être designer Juri Zaech, designer Suisse mais vivant en France (avec des papiers en règle, on espère pour lui) qui a trouvé la solution avec ses vélos personnalisés. Idée séduisante, mais encore à l’état de prototype pour l’instant.
Pendant ce temps, un ancien d’Occident est rattrapé par ses obsessions de jeunesse et continue à délirer sur la soi-disant main-mise de l’extrême gauche sur la contestation. Sans doute une façon déguisée de nous dire à quel point il a la nostalgie de sa folle jeunesse.
En parlant de folle jeunesse qui ferait mieux de finir commencer sérieusement ses études, Jean Sarkozy est de retour sur la scène politique locale. Mais ce coup-ci, il n’est pas seul, et une opposition existe désormais au sein même de la circonscription UMP. Les militants ont-ils digéré la pantalonnade de l’EPAD ? La question est pour le moment pendante.
Et en parlant de gens qui parlent de ce qu’ils ne connaissent pas avec le même entrain et la même crédibilité que Devedjian quand parle de l’extrême gauche, Numérama soulève un lièvre qui pourrait mettre à mal à la fois l’HADOPI et la CNIL. En effet, son enquête semble montrer que la CNIL a pris les autorisations permettant aux ayants-droit de collecter les adresses IP à transmettre à l’HADOPI au vu de prétendues observations du Commissaire du Gouvernement qui n’ont jamais été demandées. Ce qui fait naître un doute sérieux à la fois sur la légalité de ces autorisations, et donc des collectes ainsi faites, et sur la crédibilité de la CNIL.