Dans la vie il y a deux catégories de gens.
Ceux qui ont une espèce de génie inné pour raconter leur vie et que ça passionne tout le monde, alors qu’en fait, on n’en a rien à fiche ; et moi.
Ben tant pis.
Pour vous.
De toute façon, si vous êtes arrivé ici, c’est que franchement vous n’avez pas mieux à faire. En fait, vous êtes une espèce de gros glandeur convaincu que productivité est un gros mot. Ce qui est presque suffisant pour vous rendre sympathique, mais il est vrai que je suis peu exigeant.
Bon, traiter les quelques qui sont arrivés ici lecteurs de glandeurs, ça, c’est fait.
Pour le reste, si vous-vous posez des questions sur l’existence réelle ou supposée de Wilhelm Fermtag, reportez-vous aux œuvres complètes de Pierre Dac et Francis Blanche.
Wilhelm Fermtag est le modèle que je me suis fixé. Mon but est d’arriver à sa vivacité d’esprit et son élocution.
Un jour, j’y arriverai.
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